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C'est une nouvelle étape en matière de transition écologique : depuis le 7 juillet, l'ensemble des gaz renouvelables et pas seulement le biométhane, peuvent intégrer le registre des capacités éligibles au droit à l'injection. En inscrivant tous les projets d'injection selon le principe du « premier arrivé, premier servi », ce registre garantit la transparence et la non-discrimination des demandes d'accès aux réseaux gaziers.

GRTgaz vient de lancer un appel au marché afin d'étudier la construction, le développement et l'exploitation d'une infrastructure de transport d'hydrogène par canalisation à Dunkerque, agglomération pionnière de la décarbonation. Tous les porteurs de projets de production et de consommation d'hydrogène du territoire sont invités à manifester leur intérêt.

Olivier Dauger, agriculteur, référent Énergie-Climat pour la FNSEA et co-président de France Gaz Renouvelables, donne son avis sur ce sujet d'une brûlante actualité et sur le rôle de l'agriculture dans la production de biogaz en France.

GRTgaz a fait un point sur l'évolution des flux sur le réseau et les prévisions pour l'hiver 2022-2023. Malgré les conséquences de la guerre en Ukraine, le système gazier français devrait faire face à la demande sous réserve d'une gestion prudente des stocks et d'efforts en matière de sobriété.

Les autorités ont donné le coup d'envoi à un projet exceptionnel : elles ont retenu une proposition consistant à mettre en place, dans le port du Havre, un nouveau point d'importation de GNL qui utilisera un terminal flottant de regazéification. En service à partir de septembre 2023, il permettra à la France d'augmenter ses capacités d'importation de gaz de 45 TWh par an.

GRTgaz et la grande école d'ingénieurs Mines Paris-PSL ont décidé de collaborer pour faire avancer la recherche sur l'hydrogène. Pendant cinq ans, ils vont travailler ensemble au sein de Défi H, un laboratoire commun qui se consacrera à l'étude des effets de l'hydrogène sur les matériaux de structure.